Start-up : les best practices pour se lancer dans d'autres pays
De plus en plus de start-up françaises passent le cap de l'internationalisation. Mais se développer à l'étranger ne s'improvise pas, car les risques sont grands et le coût très élevé. C'est un processus qui se pense et se prépare en amont.

Le bon moment
Toutes les start-up ne se posent pas la question du développement international au même moment. "Les entreprises fondées par des ingénieurs plutôt que par des commerciaux pensent souvent au produit avant de penser au marché. Ils n'ont souvent pas en tête la question de l'international, explique Eric Morand, directeur du département Tech et Services de Business France. C'est d'ailleurs un problème important en France. Beaucoup ont de bonnes idées, mais ne pensent pas à comment les vendre."
Cependant, les start-up que l'on qualifie de "Born global", qui ont trouvé le bon équilibre entre les ingénieurs et les commerciaux, réfléchissent bien plus tôt à l'internationalisation, certaines y pensent même dès leur création, et c'est la meilleure stratégie. "

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