Le retargeting gagne de l'ampleur sur les réseaux sociaux
Comment utilisez-vous le reciblage publicitaire ? Cette pratique, qui consiste à afficher des bannières publicitaires sur des sites internet après qu'un internaute a fait preuve d'un intérêt particulier pour un produit sur un autre site, a fait l'objet d'une étude au cours du mois d'avril.
Je m'abonneRéalisée par myThings (acteur clé de la publicité programmatique personnalisée), cette étude avait pour ambition de mettre en lumière, les pratiques des annonceurs par rapport au retargeting. 116 spécialistes du marketing e-commerce aux Etats-Unis et en Europe ont ainsi été sondés. Cette étude myThings a révélé neuf tendances majeures parmi lesquelles il faut principalement retenir que pour 40% des répondants, l'objectif du retargeting porte sur la transformation des clients existants, tandis qu'ils sont 35% à chercher à en acquérir de nouveaux. Quant au budget consacré au reciblage publicitaire, seuls 4% des acheteurs ont déclaré réduire leurs budgets de retargeting en 2014, alors que 32% d'entre eux envisagent de l'augmenter.
L'impact des réseaux sociaux et du mobile...
D'après les résultats de l'étude près de 75% des professionnels du marketing se livrent à du retargeting sur Facebook et 11% supplémentaires prévoient de l'intégrer à leur campagne globale de reciblage. En revanche, Twitter ne fait pas l'unanimité puisqu'ils ne sont que 14% à exploiter ce réseau social. Toutefois, il convient de nuancer ce chiffre qui devrait évoluer. En effet, 47% des répondants signalent qu'ils envisageraient de se positionner sur Twitter dans un proche avenir. Le retargeting mobile prend également de l'envergure. Ainsi, 45% des acheteurs veulent essayer le retargeting mobile, tandis que 21% sont déjà en cours d'exécution d'une campagne. S'ils sont plus de 50% à ne pas disposer d'application et n'ont pas l'intention d'en lancer 63% d'entre eux affirme disposer d'un site web optimisé pour la navigation sur mobile et 29% envisage d'en lancer un en 2014.
Pour télécharger l'intégralité de l'étude, cliquez ici.