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Les 10 idées e-commerce de la semaine (30 avril- 4 mai)

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La rédaction a sélectionné pour vous 10 informations percutantes. Au menu cette semaine: les enseignes Sainsbury's et Ada fusionnent, pour le p-dg de Swatch, Alibaba devance Amazon dans la lutte contre la contrefaçon et Mondial Relay se lance dans le Drive pour les colis volumineux.

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Les enseignes de distribution Sainsbury's et Ada fusionnent

Le numéro 2 du secteur de la distribution Sainsbury's et Asda, le numéro trois, appartenant à Wal-Mart, ont annoncé ce lundi 30 avril leur fusion pour faire face à la concurrence des hard-discounters, notamment Aldi et Lidl, mais aussi celle d'Amazon. Cette transaction s'effectuerait via une absorption d'Asda par Sainsbury's, qui céderait à Walmart une partie de son capital et réglerait au distributeur américain près de 3 milliards de livres sterling. Asda serait valorisé à hauteur de 7,3 milliards de livres (8,3 milliards d'euros) à l'occasion de cette transaction, soit 42% du nouvel ensemble.

Ensemble, les deux groupes, de taille équivalente, vont devenir numéro 1 au Royaume-Uni, avec 31% de part de marché, soit plus que le leader historique Tesco à 28% de part de marché. Si l''Autorité britannique des marchés et de la concurrence (CMA) valide cette fusion, le regroupement représentera 2 800 magasins, 51 milliards de livres de chiffre d'affaires et 330 000 salariés. Les deux marques seront préservées séparément et aucune fermeture de magasin n'est envisagée. Le nouveau groupe annonce une baisse de 10 % des prix sur de nombreux produits achetés couramment.

À lire sur Le Monde


Pour le p-dg de Swatch, Alibaba devance Amazon dans la lutte contre la contrefaçon

Nick Hayek, CEO du groupe Swatch, confie au média CNBC l'avance d'Alibaba en matière de lutte contre la contrefaçon par rapport à Amazon: "Lorsque je regarde les réussites et les efforts d'Alibaba, je m'aperçois qu'il se met au service du consommateur. Et qu'il lutte activement contre la fraude. Ce qu'Amazon ne fait pas", déclare-t-il. En 2016, en ouvrant massivement sa plateforme aux e-commerçants chinois, Amazon s'est trouvé confronté à un afflux de contrefaçons. Le groupe indique avoir déployé des "moyens colossaux pour protéger les consommateurs des biens contrefaits.

À lire sur CNBC.


Mondial Relay se lance dans le Drive pour les colis volumineux

Afin de faire face au développement de l'e-commerce, Mondial Relay propose des points de retrait baptisés "Drive" pour les colis volumineux, jusqu'à 150 kilos. L'objectif est de permettre au consommateur de venir chercher ses gros colis.

La société a ouvert depuis le début de l'année 280 Drive destinés à ces gros volumes, et vise les 600 d'ici la fin de l'année. Il s'agit de petits transporteurs, coopératives, des moyennes surfaces ou des PME qui ont encore de l'espace et veulent l'optimiser. Ces gros colis sont principalement du gros électroménager, des canapés, de la literie.

À lire sur Les Echos


Les consommateurs britanniques veulent être informés du suivi de commande

Selon une enquête mondiale menée en février par YouGov,78% des consommateurs souhaitent recevoir des notifications sur le statut de leurs commandes lors de l'achat de produits, et ils n'hésiteront pas à changer de marque si les performances de la chaîne d'approvisionnement ne répondent pas à leurs attentes. Sur cet échantillon, près de la moitié - soit 49% d'entre eux - considèrent que l'heure approximative de livraison constitue l'information la plus importante, alors que 29% indiquent vouloir connaître l'état de progression de la livraison de cette commande en temps réel, avant livraison à domicile ou dans un point relais à proximité.

L'enquête révèle que près de la moitié des répondants (48%) savent ce qu'est une chaîne logistique. Ce concept est particulièrement répandu au Royaume-Uni (77%). Les entreprises qui vendent à d'autres entreprises doivent également faire face à la réalité que leurs clients sont aussi des consommateurs, qui voient de première main l'innovation (ou l'absence d'innovation dans la chaîne d'approvisionnement) lorsqu'ils font des achats en ligne ou sur leurs appareils mobiles.Les consommateurs s'attendent maintenant à une solution de visibilité de la chaîne d'approvisionnement dans le cadre de l'expérience de la marque.

A lire sur CXM


6 sites e-commerce français sur 10 rentables en 2017

En 2017, 63% des sites e-commerce ont atteint leur seuil de rentabilité, soit une baisse de 12 points par rapport à 2016 (75%). Cette tendance s'explique par la diminution de la part de sites devenus récemment rentables (8% en 2017 vs 19% en 2016), selon l'étude réalisée par Kantar TNS pour Webloyalty. Toujours concernant l'atteinte de la rentabilité, l'étude révèle un recul de la proportion des sites leaders (64% en 2017 vs 82% en 2016) et des pureplayers (60% en 2017 vs 76% en 2016), tandis que les acteurs click & mortar restent stables (70%).

Huit sites sur 10 (80%) ont réussi à accroître ou à maintenir leur rentabilité. En effet, la moitié (50%) l'a améliorée, soit une part comparable à 2016 (53%). Et 3 sur 10 (30%) l'ont stabilisée, soit deux fois plus qu'en 2016 (16%), ce qui représentait un véritable enjeu, notamment pour les petits et moyens sites. De plus, ils ont été moins nombreux à voir leur rentabilité diminuer (15% en 2017 vs 27% en 2016).

Deux changements majeurs pour cette année 2017 : d'une part, la marge commerciale, qui occupe la 3e place (55%) contre la 5e en 2016 (42%), est redevenue un critère important dans la hausse de la rentabilité. D'autre part, les coûts d'exploitation ont moins pesé sur la progression de celle-ci en 2017 (28%) qu'en 2016 (44%) ainsi que les coûts de recrutement de clients qui étaient un facteur de dégradation important de la rentabilité en 2016 (40%) vs 20% en 2017. Bien qu'en léger recul la monétisation d'audience a été un levier activé par plus de 4 sites sur 10. Une baisse visible notamment chez les grands sites et les sites leaders. En toute logique, les petits et moyens sites y font moins fréquemment appel.


Le Groupe TF1 acquiert Aufeminin.com

Le Groupe TF1 acquiert après d'Axel Springer le Groupe Aufeminin.com, un acteur digital et international disposant d'un portefeuille de marques et de contenus sur les cibles féminines, lui permettant d'accélérer sa transformation digitale. Aufeminin a développé un modèle original de diversification de ses revenus autour de ses communautés, et notamment aufeminin, MyLittle Paris, Marmiton et Livingly Media. Il rassemble aujourd'hui de nombreuses communautés dans le monde (France, Allemagne, Espagne, Italie, Royaume-Uni, Etats-Unis et Japon), sur ses plateformes et les réseaux sociaux.

Son modèle économique s'appuie sur trois piliers stratégiques : le programmatique, le social e-commerce (avec les marques My Little Box, Beautiful Box, Gretel box et Gambettes box notamment) et des solutions de brand content, d'influence marketing, d'événementiel et de social reach.


Kiabi teste l'encaissement mobile en juin

Kiabi se renforce dans l'Hexagone particulièrement sur l'Ile-de-France. Le 25 avril, l'enseigne a inauguré un magasin de 2 000 mètres carrés dans le centre commercial Rosny 2 en Seine-Saint-Denis. Ce point de vente testera le paiement mobile à partir de juin prochain. Le système d'encaissement Mopos utilisé a pour but de faciliter le paiement de ses clients et de diminuer l'attente en caisse.

Une borne sera installée dans la zone d'essayage, tandis qu'un système mobile sera à la disposition des 47 conseillers du magasin dans le rayon femme pour drainer le trafic.


Amazon travaille sur un projet secret de robots domestiques

Amazon construirait une gamme de robots domestiques, sous le projet "Vesta". Les robots seraient capables de se déplacer de manière autonome dans le domicile. Ces robots seront d'abord testés auprès des employés d'Amazon cette année, avec un lancement au grand public estimé pour 2019.

"Des personnes proches du dossier ont avancé que le robot Vesta pourrait être une sorte d'Alexa mobile, accompagnant ses propriétaires dans certaines pièces de la maison, dans lesquelles il n'y aurait pas d'appareil Echo", indique le Bloomberg.

À lire sur Bloomberg



L'Iran lance sa propre cryptomonnaie

Après le Venezuela en décembre dernier, c'est au tour de l'Iran de lancer sa propre cryptomonnaie. Cette annonce intervient alors que la monnaie iranienne, le rial, s'effondre en raison des spéculations autour d'un éventuel rétablissement des sanctions économiques américaines.

L'Iran a pris la décision en avril d'une unification officielle de son marché des taux de change et une interdiction des activités de change en dehors des établissements bancaires

À lire sur Les Échos

La rédaction

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