Les 10 idées e-commerce (28 août-1 sept.)
La rédaction a sélectionné pour vous 10 informations percutantes. Au menu cette semaine: des drones de livraison survolent la capitale islandaise, Uber cessera bientôt de localiser ses clients à l'issue de leur trajet et Amazon lance Instant Pickup pour récupérer sa commande en deux minutes.
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Des drones de livraison sillonnent désormais le ciel islandais
L'entreprise israélienne Flytrex noue un partenariat avec l'Islandais AHA, spécialisé dans la livraison, et met en place un chemin de livraison par drone au dessus de Reykjavik. Flytrex ne fabrique pas de drone mais travaille en collaboration avec les autorités de régulation aérienne, gère la formation des employés et fournit un environnement cloud capable de gérer le parcours des engins volants en milieu urbain. L'hexacopter utilisé par Flytrex traverse une baie normalement contournée par les livreurs et réduit ainsi le délai de réception d'une demi-heure à quelques minutes.
À lire sur The Verge.
Uber cessera bientôt de localiser ses clients à l'issue de leur trajet
Uber décide de retirer une fonctionnalité controversée de son application: celle-ci, introduite l'année dernière, permettait à l'entreprise de connaître la localisation de ses clients (donnée afin que le chauffeur puisse localiser le point de rendez-vous) même après la fin d'une course et lorsqu'ils n'utilisaient plus l'appli, ou lorsqu'ils refusaient de partager leur situation géographique. La modification prendra effet dans la semaine pour les utilisateurs d'iPhone, puis sur Android peu après. Uber a dans un premier temps défendu l'option prétextant une mesure de sécurité, et a assuré que les données n'étaient pas collectées durant plus de cinq minutes après chaque course.
À lire sur The Verge.
Avec Instant Pickup, récupérer sa commande Amazon en deux minutes après l'achat
Les casiers Instant Picker ressemblent à leur prédécesseur, les Amazon Lockers. Ils permettent aux clients d'Amazon membres du programme Prime de passer commande va leur mobile et de venir retirer leurs achats dans l'un des petits casiers métalliques dans les deux minutes suivant le paiement. Le casier s'ouvre grâce à un code-barres. Une centaine d'articles (boissons, snacks, petit électronique, liseuses Kindle) sont disponibles. Cinq Instant Pickers ont pour l'heure été installés, au sein de campus universitaires américains.
À lire sur Siècle Digital.
Le groupe Mariott et Alibaba créent une joint-venture en Chine
Alibaba Group et Marriott International s'allient pour mettre sur pied et gérer les plateformes web officielle du groupe hôtelier en langue chinoise. Cela inclut le site web officiel Marriott Chine, l'application mobile reliée et la boutique Marriott sur la plateforme fliggy.com, propriété d'Alibaba dédiée au tourisme. En parallèle, le système de membres du groupe Marriott interopérera avec celui d'Alibaba, intitulé "88 member system". Les deux acteurs espèrent ainsi lancer des offres packagées personnalisées.
À lire sur China Retail News.
Domino's teste la livraison de pizzas par robot dans le Michigan
Courant septembre, les habitants du Michigan (États-Unis) pourront recevoir leur pizza via un véhicule autonome. Domino's et Ford entament en effet un programme de test afin de mesurer l'appétence des consommateurs pour la livraison automatisée. L'enseigne avait déjà mené une expérience similaire en Nouvelle-Zélande avec un drone et un véhicule autonome. Un problème demeure cependant: la livraison a lieu à l'extérieur du domicile du client, ce qui réduit son intérêt pour les résidents d'immeubles.
À lire sur Pymnts.
Groupon réaffirme son positionnement tarifaire aggressif avec l'application Boomerang
Le site d'achats groupés Groupon renouvelle pour la deuxième année son partenariat avec l'application Boomerang Commerce's retail Price Performance Management, laquelle émet des recommandations concernant le prix des produits et services proposés en fonction de la demande, de l'élasticité du marché du type d'offres et du trafic, notamment. L'outil fournit également une mesure des performances et suggère des stratégies de promotion destinées à augmenter le taux de conversion de la plateforme.
À lire sur Retail Dive.
Amazon permet à ses clients britanniques de payer en argent liquide
Le service Amazon Top Up signe le retour du paiement cash dans le secteur de l'e-commerce. Au Royaume-Uni, les clients Amazon peuvent désormais charger leur compte en argent liquide (entre 5 et 250 livres par transaction). Les fonds sont immédiatement disponibles sur la plateforme amazon.co.uk. L'option est cependant limitée à l'achat d'une sélection de produit et le service ne fonctionne pas avec les Amazon Gift Cards. Pour accéder à Top UP, le client doit obtenir un code-barres lié à son compte et peut déposer l'argent dans l'un des milliers de PayPoints existants (stations-service, petits commerces...). Le commerçant scanne le code-barres et crédite le compte associé. Les fonds ne sont pas retirables et expirent après dix ans.
À lire sur Pymnts.
75% des shoppers omnicanaux recherchent les articles en magasin et achètent en ligne
76% des shoppers omnicanaux admettent qu'ils effectuent la majorité de leur shopping en ligne, selon une étude menée par Criteo, fondée sur l'interrogation de 2500 consommateurs américains. Autres enseignements, 75% des shoppers effectuent leurs achats en ligne après avoir vu un produit en magasin, tandis que 63% effectuent leurs recherches en ligne avant d'acheter en point de vente physique.
À lire sur Retail Dive.
La start-up 8th Wall met la réalité augmentée à la portée de tous les utilisateurs de smartphone
Alors que les acteurs high-tech luttent pour proposer la technologie la plus avancée, la start-up 8th Wall, fondée par une poignée d'anciens ingénieurs Facebook et Google, choisit d'étendre l'utilisation de la réalité virtuelle à 90% des smartphones. 8th Wall accélère la création d'applications AR (dix fois plus rapide que les standards actuels), lance un plug-in gratuit dédié aux développeurs et boucle une levée de fonds de 2,4 millions de dollars.
À lire sur Tech Crunch.
Facebook s'apprête à bloquer les publicités des éditeurs de fake news
Facebook franchit une nouvelle étape afin d'améliorer la qualité de son contenu: depuis lundi, les pages partageant des "fake news" ne seront plus autorisées à publier de publicité ou à acheter d'espaces publicitaires sur l'ensemble de la plateforme. Facebook vise les pages qui "publient à répétition des informations fausses", vérifiées par des modérateurs. l'entreprise n'a, en revanche, pas précisé la définition de "à répétition" et n' pas dévoilé les détails de cette vérification. L'interdiction n'est pas définitive et les éditeurs pourront à nouveau retirer des revenus publicitaires lorsqu'elles "stoppent la publication".
À lire sur Recode.
![[Offre d'emploi] La rédaction recrute deux journalistes en alternance](https://www.ecommercemag.fr/Assets/Img/BREVE/2024/5/335337/Offre-emploi-redaction-recrute-deux-journalistes--L.jpg)
