Le Webdecoder joue la carte du ludique
Vous désirez accroître sensiblement le trafic sur votre site, mais les
concepts usés du marketing vous sortent par les yeux ? Alors, pourquoi ne pas
vous laisser tenter par le Webdecodeur ? Ce nouvel outil de promotion nous
arrive tout droit des Etats-Unis, via la Belgique, où la société Promodéfi,
spécialisée dans les primes et objets promotionnels, en détient la licence. Il
s'agit d'un feuillet en PVC transparent comprenant une fenêtre codée dans
laquelle se cache un signe, un mot, une phrase, un dessin, qui apparaît dès
qu'il est placé devant une source lumineuse particulière, comme un écran
d'ordinateur ou un téléviseur. Ainsi, pour accéder au lot de bienvenue proposé
par une entreprise sur son site, l'utilisateur n'a qu'à s'y rendre et apposer
le Webdecoder à l'endroit précis où on le lui demande pour voir le message
apparaître et savoir si il a gagné ou non. Selon ses concepteurs, le
Webdecodeur possède un double avantage : il permet d'augmenter sensiblement le
trafic sur un site web ou dans un magasin par son côté ludique, et permet de
qualifier les adresses des visiteurs et ainsi d'enrichir sa BDD, via un
questionnaire d'identification avant son utilisation. Produit polyvalent, il
peut être utilisé sur plusieurs canaux (mailing, asile-mailing/colis,
encart-presse, catalogue VPC). Les applications marketing peuvent se décliner
sous forme d'instant win avec un message simple "gagné" ou "perdu" qui génère
une visite unique, ou bien sous forme de jeu avec renouvellement de visite. Il
propose alors un code fixe que l'utilisateur compare avec les codes gagnants.
En ajoutant chaque jour sur le site un code gagnant différent, il favorise un
nombre important de visites. Selon Promodéfi, le Webdecoder engendrerait des
taux moyens de remontées de l'ordre de 30 à 40 %, tout en induisant des coûts
d'acquisition particulièrement bas. Gap, Agfa, Volvo, American Express l'ont
déjà utilisé, semble-t-il avec succès, en Belgique. En France, où Promodéfi
comptent tester son produit par l'intermédiaire d'agences de marketing
opérationnel, l'agence lilloise ETO est la première à le mettre en oeuvre.